Avis HOPITAL PRIVE PAUL D EGINE

j’ai été opérée en ambulatoire. Me déplaçant difficilement et habitant loin, mon médecin m’avait fait un bon de transport pour un taxi conventionné. J’ai réussi à en joindre plusieurs et tous avaient besoin d’un horaire approximatif. Il m’a été impossible d’avoir l’information. J’ai fini par téléphoner à 17h la veille de l’intervention car toujours pas de nouvelles et lors de mes appels, personne n’avait jamais de réponse à me donner. Je suis tombée sur une secrétaire qui m’a indiqué être convoquée à 8h le lendemain. J’ai finalement reçu un sms plus tard m’indiquant une convocation à 9h pour l’intervention avec un chirurgien qui n’est pas celui qui me suit. A mon arrivée j’étais enregistré sur le nom d’un médecin autre que le mien et la secrétaire a donc eu du mal à me trouver sur ses fiches. J’ai de nouveau signalé que j’étais en difficulté pour le retour et que j’avais le document pour un taxi, ce à quoi les secrétaires de l’ambulatoire m’ont dit de le dire à l’infirmiere. Pour le côté administratif l’adresse mail n’a jamais fonctionné. Il a fallu beaucoup d’appels avec différentes secrétaires des échanges sms, whatsapp et différents mails pour envoyer tant bien que mal des documents. J’ai demandé chaque fois confirmation si tout était complet, le jour J et sur place la secrétaire m’annonce devoir faire un nouveau chèque à cause d’un document où la date était erronée. De plus, je suis arrivée à 7h30 pour partir au bloc à 12h00. Je peux comprendre les contre temps mais d’arriver si tôt, de voir une salle d’attente bondée, sans siège de disponible et s’apercevoir que tout le monde est convoquée n’importe où, n’importe quand, qui plus est dans un hôpital privé avide d’argent, parce qu’avec tant de factures, cela laisse penser qu’être malade est en plus un luxe et un bon nombre de paramédicaux qui ralent dans tous les sens et font ressentir une certaine tension. L’organisation semble inexistante. Il serait tout de même primordial de prendre en compte le jeûne obligatoire avant l’intervention qui pourrait être moins pénible si des créneaux horaires étaient à peu près indiqué. Surtout quand on a de lourds traitements avec des effets secondaires. Toutefois la gentillesse et l’amabilité de chaque secrétaire apporte un peu de réconfort autant que la bienveillance et le professionnalisme des médecins qui m’ont prise en charge.
En revanche, l’infirmière qui m’a reçu dans l’unité d’ambu 2 a été fortement désagréable. Malgré mon attention particulière a bien utilisé toutes formules de politesse, répondre au question le plus brièvement possible et m’habiller en tenue de bloc le plus vite possible pour ne surtout pas lui faire perdre la moindre seconde. Lors de la question sur mon retour à domicile, j’ai eu le malheur de lui dire que j’avais un bon de transport pour un taxi conventionné, impossible à réserver puisque je n’ai jamais pu avoir d’horaire pour mon arrivée comme pour mon départ et que malgré nombreux appels avec différentes secrétaires pour mon intervention de ce jour, toutes m’ont bien dit de prévenir l’infirmière le jour de mon arrivée. Je me suis littéralement faite incendié puisque madame a « autre chose à faire et que tout le monde est en grève ». Elle m’a bien précisé de me débrouiller et que ce n’était pas son problème. J’aurai pu accepté ses réflexions plus que déplacées mais son attitude aussi antipathique que méprisante me laisse un goût amer. Je lui ai donc dis que ce n’était « pas grave, je rentrerai en transports » (j’habite à 90 minutes de transports d’ici.) J’etais bien prévenue que je devais sortir accompagnée mais l’organisation m’a lésé. L’infirmière m’a clairement dit que ce n’était pas son problème. Je ne tolère pas du tout le comportement qu’elle a eu envers moi. Elle a tellement était odieuse que je suis restée prostrée dans mon box, n’osant pas aller aux toilettes de peur de me faire de nouveau incendier. J’ai particulièrement eu froid le temps de ma prise en charge car le brancard ne dispose que d’un « drap »jetable et vu l’amabilité de l’infirmière je n’ai pas osé bouger d’une oreille. De plus, cette dame n’a tenu compte d’aucuns de mes dires et ne m’a même pas répondu quand je lui ai dis avoir uniquement sur mon téléphone un complément de prise de sang qui indiquait notamment un élément élevé. J’ai pour particularité d’être pharmaco résistante et nécessite d’un lourd traitement antalgique, qui n’a absolument pas du tout été pris en compte de mon arrivée jusqu’à mon retour de l’intervention dans le box. Lorsque j’ai quitté mon box pour mon retour en disant au revoir au poste de soin, l’infirmière était assise sur son téléphone et n’a pas eu d’autres réactions que de lever les yeux au ciel sans un regard et sans un mot. Son comportement a été inadmissible du début à la fin.
Je lui souhaite à elle même ou à l’un de ses proches d’être prise en charge un jour de la même manière qu’elle m’a prise en charge.
Peut être serait il possible de lui proposer une remise en question ? Un miroir ? Du xanax ? Un soutien psy ? Ou mieux, changer de metier.

Mon papa a été hospitalisé aux urgences de Paul d’egine le 18 août après-midi. Cancer généralisé, difficulté respiratoire et œdèmes très importants. Après une nuit , une journée entière aux urgences, on me dit que finalement il n’est pas si mal , qu’il s’est levé tout seul pour aller aux toilettes et que suivant sa volonté il pourrait regagner son domicile. Je suis étonné et demande à parler à l’oncologiue radiothérapeute de garde . On m’explique qu’il faut respecter sa volonté. J’ai beau dire qu’il a un début d’alzheimer et qu’il n’est pas en état de sortir, on me balance que je ne respecte pas mon père me faisant passer pour une fille indigne. Leur décision est prise je n’ai pas le droit à la parole. Ils me promettent qu’ils organiseront tout pour une hospitalisation à domicile. Le lendemain matin, un ambulancier m’appelle pour m’avertir qu’il était sur la route. Mon père arrive avec un drap sur les épaules non lavé et avec une ordonnance de lasilyx en comprimés sachant qu’il ne peux plus avaler. Les ambulanciers le mettent dans son lit mais il hurle de douleur. Je rappelle le samu qui l’emmène à Sainte Camille. Il décède le lendemain, je suis outrée devant l’agissement de soignants qui se croient supérieurs aux autres et qui renvoient un homme de 90 ans très malade comme un chien. Quelle honte, quelle inhumanité.

Expérience très dur pas de secrétaire. A la clinique. J’ai appelé toute la matinée sans réponse. Je suis resté en attente 27 minutes et j’ai dû raccrocher. Horrible. Par contre quand on vient à la clinique le désert. Tout ça pour un document