Avis LADAPT

Certains professionnels du CAJ devraient être évalués.
Autant au début de mes cinq premières années d'accueil ont vraiment été du bonheur.
Les deux dernières, ont été au contraire de la souffrance.
Les éducateurs nous délaissent dans notre évolution.
Je dois m'occuper en total autonomie, depuis mon départ, de mon dossier pour avoir un statut travailleur handicapé.
9 mois que j'ai commencé la demande, mon dossier est toujours en cours d'étude. Ça fait un peux plus d'un an que j'ai abandonné LADAPT.

Là-bas, on fait des activités pour notre
cerveau, certes. Mais il faut proposer des niveaux de potentiel.
( une personne avec des années de rééducation aura plus de capacité face à une personne qui vient de subir un traumatisme, et on demande à la personne qui à plus évolué de se retenir. Quel est le but de la rééducation dans ce cas? ).
Ils nous aident à trouver un emploi seulement si on souhaite un métier dans un ESAT, ou que l'on souhaite reprendre son travail d'avant. Aucune aide de recherche d'emploi en dehors des milieu protéger.

Je n'ai jamais vu quiconque chercher un travail, formation ou remplir un curriculum.

J'ai fais "dons" ( j'ai payer la facture) de milliers d'euros pour réapprendre à écrire, faire partie d'un centre de loisirs pour adultes ( on passe notre temps à jouer, même après avoir acquis cette matière ), le prix n'est pas justifiable au vu de se que l'on propose. Bon soyons honnête, certaines activités savèrent utiles, et sont toutes plus plus ou moins amusante. Ils font bien en fonction de nos envies, ils réussissent à ne pas infantiliser les personnes handicapés.

Je pense que les activités devraient être selon le besoin et l'envie. Et il faut expliquer à la personne ce que celle-ci lui apportera.

Au final, pour revenir aux éducateurs du CAJ.
Une plainte pour agression sexuel à été signalé à la Référente du Centre Accueil de Jour, rien à été fait.
La Gendarmerie, une association pour la protection des femmes, et une avocate, ont été mise aux courant.

J'ai vu aussi un bénéficiaire pleurer face aux reproches d'un éducateurs. Celui-ci ne prenais pas en compte la douleur psychologique que l'on devait apparemment lui faire subir.

À ce sujet, j'ai appris par la suite qu'une éducatrice à démissionné auparavant car elle ne supportait pas de voir la maltraitance subit par cette personne.

Avis aux prochains, le lieux est convivial, mais restez sur vos gardes. Mon ressenti face à ce lieu est de la joie, de la déception et de la colère !

Cordialement

Duperray Nadège