Avis KAORA PARTNERS

📰 D'après Management Magazine, je suis "un homme de réseaux". Mais concrètement, que m'apporte cet engagement associatif ? 🤯

Chez Kaora la vie personnelle se confond avec la vie professionnelle... Il n'y a pas de limites! Vous travaillez tout le temps. Les clients vous contacteront sur votre numéro de téléphone personnelle.

Il n'y a pas la moindre reconnaissance à la clef, aucune considération pour votre bien-être et votre santé.

Les dirigeants associés se revendiquent de l'humanisme et de la bienveillance or c'est tout le contraire.

Au quotidien, il faut travailler sur votre ou vos projets clients de manière assidue y compris le week-end (sous-effectif)

Au quotidien, il faut liker toutes les publications Kaora sur LinkedIn et vous recevrez des messages intempestifs sur Teams pour vous le rappeler.

Il n'y a aucun respect de la vie privée, le "Président" ne voit aucun problème au fait d'écrire à ses salariés le week-end via WhatsApp ou Teams.

Vous n'aurez aucune prime (la prime n'est pas couchée sur le contrat).

J'ai parlé de nos conditions de travail lors de ma visite médicale et l'infirmière m'a juste fait remarquer que nous étions nombreux à nous plaindre.

Les salariés démissionnent, les nouvelles recrues s'en vont rapidement en général en toute discrétion. Mais pour ceux qui sont rentables, la démission c'est un mélodrame! Des menaces fusent sans parler chantage affectif car on serait soit disant une famille.

Fort heureusement, ce cauchemar est derrière moi.

Chaque jour sur Teams vous aurez un message vous rappelant à quel point c'est cool de travailler chez Kaora. En plus de Teams, il y a le groupe WhatsApp à travers lequel vous serez inondés de messages inutiles...

Vous l'aurez compris cette communication outrancière et exacerbée, c'est pour occulter ​la médiocrité des conditions de travail qui y sont très alarmantes!

Il faut accepter les départs sans en faire un drame. Les gens partent pour des motifs bien précis. Il faut se remettre en question car vous ne parviendrai jamais à recruter avec une telle attitude.

Le "Président" est très vindicatif en témoigne les réponses faites sur Glassdoor par rapport aux critiques négatives (on sent la colère même si le ton est maîtrisé). Pourquoi commenter de façon ironique les publications des anciens salariés sur LinkedIn juste parce qu'ils sont partis. C'est la vie NEXT!
Quel bonheur d'avoir quitté cette entreprise

En lisant les commentaires négatifs cela me fait halluciner, nous ne devons pas parler de la même boite. Je suis désolée pour ces petits "haineux" qui sont partis comme ils le disent de leur "descente aux Enfers." Nous ne devons pas avoir la même notion de l'Enfer. Nous venons d’emménager dans de nouveaux locaux Parisien super beaux et on voit bien que la direction est à l'écoute des salariés. Tout est au RDV pour travailler dans une atmosphère agréable et chaleureuse.
En 5 ans Kaora PArtners est passée de 5 à 85 salariés: Cela fait des jaloux dans le domaine du conseil ;-)

J’ai bossé pour cette boîte pendant 1 an.

Une descente aux enfers.

Monter une entreprise n’est pas chose simple, qu’importe sa taille ou son activité.
Mais quand on le fait il faut savoir écouter. Se remettre en question. S’adapter. S’améliorer.
Personne n’est capable de monter une structure parfaite du premier coup.

Quand les fondateurs dirigeants auront compris que la manipulation, la pression et le mensonge qu’ils emploient systématiquement en répression aux critiques internes ou externes à l’entreprise (qu’elles soient constructives ou non, énoncées publiquement ou en privé, bienveillante ou amères…), tout le monde y gagnera.

Toujours la même chose, de beaux discours au début (du vent), une phase où on est à fond dedans parce que le champ des possibles est immense (seul point positif) puis rapidement on comprend la réalité des choses : Opacité des décisions, dénigrement, petits chefs, micro management , horaires à n'en plus finir 6/7 voire 7/7, harcèlement, aucun équilibre vie perso, etc.

Kaora ou comment passer de l'illusion d'une grande opportunité à la pire expérience professionnelle de sa vie.