Avis CH DE PONT DE VAUX

J'ai postulé à plusieurs reprises sur un poste dans cet Hopital, car ils ont de grandes difficultés à trouver et selon Pole emploi ils reçoivent très peu d'offres pour ce poste.

Pensant bien faire j'ai donc relancé en présentant une deuxième fois ma candidature en stipulant qu'ils avaient du mal à trouver depuis pas mal de temps et que j'avais non seulement une expérience dans le magasinage (plusieurs années dans des entreprises privées à ce poste dans le passé), et une connaissance comme ils le demande dans les "BL Santé" ayant durant plusieurs années opéré à l'Hopital avec ces documents.

Pourtant Pole emploi me répond que cela ne suffit pas et qu'ils exigent en plus de ces connaissances une personne ayant une connaissance et expérience dans "tous corps de métiers" (maçonnerie, électricité, plomberie, peinture etc.

Il est triste de voir l'Hopital de Pont de Vaux comme celui de Macon, sombrer dans une politique d'augmentation de leurs cadres pour la même quantité de travail voir moins (de plus en plus nombreux avec souvent de plus en plus de temps pleins), alors même qu'ils baissent le nombre d'Agents hospitaliers et oblige chaque agent à faire 50 métiers à la fois quand ils ne font pas en plus une partie des taches normalement allouées aux pharmaciens ou cadres. Il ne faut pas s'étonner si ils trouvent de moins en moins de candidats, et si le nombre d'arrêts maladies pour dépressions ou surmenage, ou accidents arrivent.

Et tristement cette mentalité est généralisée à l'échelle nationale, ceux qui en payent chèrement le pris sont les employés et les patients. Au même titre que la vaccination obligatoire dont tous les rapports fournis au Ministère de la Santé attestent qu'elle n'a protégé ni de la contagiosité, ni de la contamination et encore moins des cas graves contrairement à ce qu'a déclaré nombre de directeurs véreux et gouvernement, pour des raison purement politiques et financières au détriment du patient et des employés encore une fois aussi.

il faut que ces abus cessent si l'on ne veux pas assister au naufrage du bien etre des soignants, des agents et des patients (avec pour finalité plus d'infections, de mauvaises prises en charge et donc de décès.