L'EHPAD PAUL LOUIS WEILLER

Une fin de vie bien triste pour Jacqueline, notre mère, dans cet établissement Paul-Louis Weiller d’Arès (Gironde)
Derrière des locaux coquets et une ancienne légende de bienfaisance, une autre réalité vient ternir la séduisante image de la maison : personnel sous pression et en sous-effectif chronique, turn over des directions et des personnels encadrants, management brutal, autoritarisme assumé et un CVS (conseil de le vie sociale) fantoche. Une vision bien passéiste du rôle d’un EHPAD.
Je vous déconseille vivement cet établissement, car après une période d’adaptation qui s’avère être délicate pour nos aînés il est très difficile de les faire changer de lieu. Nos anciens ont besoin d’habitudes, même si elles s’avèrent tristement déplorables.
Cette maison a pour projet le puçage des chaussures des résidents pour une surveillance numérique de leurs déplacements, encore une sacrée preuve d’humanité.
À bon entendeur...

Ma mère avait besoin qu'on l'aide à s'habiller le matin et à se déshabiller le soir en plus d'une aide à la toilette. Hélas elle est obligée de se débrouiller seule. Elle marche avec son déambulateur et peut sortir de l'établissement pour sa marche quotidienne. Venant d'une autre région, elle a fait son changement d'adresse pour son journal. Elle le recoit avec un jour de retard mais aujourd'hui jeudi elle a reçu celui de samedi dernier.